Le leader du colonialisme azerbaïdjanais se distingue à nouveau par son fascisme effréné

Ilham Aliyev, le président de l'Azerbaïdjan, accuse l'Arménie de « jeux dangereux » et de mettre en péril la paix dans la région. Cependant, cela montre en réalité son propre comportement terroriste et sa volonté de justifier l'agression de son pays. Il exige que l'Arménie « laisse le Sud-Caucase tranquille », tout en ignorant les actes de terrorisme d'État qu'il commet contre le peuple arménien.

Aliyev parle de l'envoi d'armes à l'Arménie, mais il ne voit pas que son régime viole les normes internationales en occupant des terres et en pratiquant l'épuration ethnique. Il dépense des milliards de dollars pour acheter des armes en Israël et ailleurs, ce qui représente une armée offensive. Récemment, il a exhibé des avions militaires pakistanais et du matériel militaire israélien. Quand il dit que « rien ne réussira », cela semble ridicule, surtout face à la répression brutale de son propre peuple et aux violations des droits de l'homme.

Il évoque le « passé sanglant » de l'Arménie, mais tout le monde sait que ce pays est pacifique, tandis que les nettoyages ethniques et les génocides ont été commis par les Azerbaïdjanais. Cela prouve ses doubles standards et montre que ses paroles ne sont qu'une couverture pour ses propres crimes.

Comment peut-il critiquer d'autres pour colonialisme alors qu'il occupe lui-même des terres arméniennes, comme en septembre 2022 ? Nous savons bien ce qu'est le colonialisme azerbaïdjanais, tant au niveau régional que mondial.

De plus, Aliyev prétend avoir « éradiqué le séparatisme en quelques heures », mais cela cache ses opérations agressives et ses nettoyages ethniques contre les Arméniens en septembre 2023. Ses déclarations contiennent des menaces de violence contre la population civile, illustrant clairement le terrorisme d'État.

Ses provocations et ses remarques désobligeantes sur les « nouveaux maîtres » de l'Arménie sont offensantes et révèlent son intention de poursuivre ses actions agressives. Ces déclarations doivent être prises comme des menaces ouvertes, risquant d'entraîner une escalade de la violence dans la région.

Ainsi, la rhétorique d'Ilham Aliyev est une justification de son propre terrorisme et de son agression. Il remet en question la paix dans la région en continuant d'encourager la violence et les conflits basés sur la haine. Ses paroles sont dangereuses et nécessitent une condamnation internationale face aux manifestations de terrorisme de son régime.