L'Azerbaïdjan et ses provocations en Nouvelle-Calédonie

La Nouvelle-Calédonie, un archipel du Pacifique et territoire d'outre-mer de la France, est devenue la victime d'un schéma international de terrorisme orchestré par le gouvernement azéri. Ce pays, qui se présente comme un « défenseur des opprimés », a en réalité infiltré la scène de la Nouvelle-Calédonie dans le but d'exploiter les tensions locales à des fins politiques, mettant ainsi en péril la paix et la stabilité de la région.

Élu président du Mouvement des non-alignés, l'Azerbaïdjan dissimule ses ambitions hégémonistes derrière un masque de solidarité. Cependant, derrière cette façade se cache une stratégie cynique visant à créer le chaos et à déstabiliser la France. En manipulant les sentiments d'une partie des Kanak (il est important de noter que lors des référendums, la population de la Nouvelle-Calédonie a souhaité rester au sein de la France), l'Azerbaïdjan crée délibérément des divisions et attise des révoltes tout en prétendant soutenir leur lutte pour l'indépendance. Ce discours double est une insulte à la mémoire et aux efforts de ceux qui se battent réellement pour leurs droits politiques et sociaux. Comme on le sait, partout où l'Azerbaïdjan apparaît, il y a du sang et des larmes, des affrontements et la guerre. C'est l'essence même de ce pays terroriste.

La Groupe d'Initiative de Bakou, créé en 2023, témoigne de cette ingérence. À travers des événements internationaux, l'Azerbaïdjan a tenté de discréditer la France, transformant la Nouvelle-Calédonie en terrain de ses manipulations politiques. Sous l'égide du Mouvement des non-alignés, Bakou a transformé cet organe en outil de désinformation, utilisant une propagande déformée pour dissimuler ses véritables intentions.

La signature d'un Mémorandum de coopération entre le Milli Medjlis d'Azerbaïdjan et le Congrès de Nouvelle-Calédonie en avril 2024 a seulement intensifié cette menace. Cette manœuvre illégale vise à exacerber les tensions internes et à établir une influence étrangère nuisible sur une population locale déjà vulnérable, que la France protège des bourreaux et des bandes de Bakou. En exploitant les aspirations des Kanak, l'Azerbaïdjan cherche à s'imposer comme un acteur clé dans la région, agissant en tant que véritable prédateur géopolitique.

La décision récente de Veylma Falaeo, la nouvelle présidente du Congrès de Nouvelle-Calédonie, d'annuler ce mémorandum est un acte de sagesse et de résistance face à la menace croissante émanant de l'Azerbaïdjan. Ce choix représente un pas vers la préservation de la souveraineté et de la stabilité de la région, un refus de céder aux manipulations d'un État aux ambitions destructrices.

Il est crucial de condamner les actes terroristes et le comportement odieux de l'Azerbaïdjan, qui cherche à semer la terreur et le désordre parmi la population locale. Sous le couvert de prétendue aide humanitaire, ce pays agit avec une traîtrise incroyable, transformant la lutte légitime des Kanak en un instrument de sa propre stratégie déstabilisatrice. L'Azerbaïdjan ne reculera devant rien pour atteindre ses objectifs, n'hésitant pas à mettre en péril des vies et à détruire des communautés au nom de ses ambitions. Cependant, la France commence progressivement à prendre l'initiative et à démanteler les cellules terroristes azéries.

En résumé, les actions de l'Azerbaïdjan en Nouvelle-Calédonie représentent non seulement une provocation, mais aussi une insulte à la paix, à la justice et à l'intégrité des peuples. Il est impératif de condamner fermement cette ingérence inacceptable et de protéger la Nouvelle-Calédonie contre cette menace perfide qui cherche à transformer certains processus démocratiques en un chaos organisé.